Son orientation, due à son éducation, est la peinture religieuse. Il souhaite lui donner le réalisme de son temps et un sens national. Il traite des scènes bibliques, s'inspirant des maîtres néerlandais des xve et xvie siècles, reprenant les personnages et les motifs artistiques de cette époque.
Gagnant ainsi en profondeur, en simplicité et en vérité du sentiment, il renonce à la beauté et l'idéalité de la représentation, ce qui divise les spectateurs.
Dietrich Bieber, Ekkehard Mai: Gebhardt und Janssen – Religiöse und Monumentalmalerei im späten 19. Jahrhundert. In: Wend von Kalnein: Die Düsseldorfer Malerschule. Verlag Philipp von Zabern, Mainz 1979, (ISBN3-8053-0409-9), S. 165 ff.
David Koch: Eduard von Gebhardt. Verlag für Volkskunst Rich. Keutel, Stuttgart 1910.
Gernot Blum: Aufbruch in die Moderne – Das Exlibris um 1900. Artikel: Die Archaisten – Eduard von Gebhardt. Wiesbaden 1990, (ISBN978-3-922 835-19-6).
Erik Thomson(de) und Günter Krüger: Eduard von Gebhardt – Leben und Werk. Lüneburg 1991.