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Titre original : Test
Titre français : San Francisco 1985
Réalisation et scénario : Chris Mason Johnson
Musique : Ceiri Torjussen
Direction artistique : Rollin Hunt
Décors : Aimee Goguen et Alexa Loftus
Costumes : Kristen McCullough
Montage : Christopher Branca, Chris Mason Johnson et Adam Raponi
Photographie : Daniel Marks
Production : Chris Mason Johnson et Chris Martin
Production déléguée : Elizabeth Pang Fullerton, Jenni Olson et Ian Reinhard
Production associée : Abigail Hunter, Mark McCormick, Maia Rosal et Garen Scribner
Coproduction : Timothy Gonyon et Nelson Gonzalez
Sociétés de production : Gloss Studio et Serious Productions
Sociétés de distribution : Wolfe Releasing (États-Unis) ; KMBO (France)
Les premières ventes hebdomadaires au box-office s'élèvent en moyenne à 1 228 de dollars par salles[7]. Au bout de la cinquième semaine, il totalise 18 823 de dollars[8].
En France, durant les avant-premières nationales, 251 spectateurs ont assisté à ce long métrage, entre le et le [9]. Une semaine après sa sortie dans les salles, il compte 1 933 spectateurs et, au bout de six semaines, il totalise 4 237 spectateurs en cumul[9].
Accueil critique
États-Unis
Sur le site Rotten Tomatoes, il donne 82 %, dont 22 critiques positifs, avec une note moyenne de 6.8⁄10. Sur Metacritic, il mentionne 70⁄100, basé sur 7 critiques qui sont « généralement favorables ».
Clayton Dillard de Slant Magazine applaudit le film qui « gère merveilleusement un humanisme pleinement formé sans sentimentalité[10] ». Stephen Holden du journal The New York Times souligne que « M. Marlowe, dans le rôle de Frankie, livre une performance calme et émouvante d'une telle subtilité et véracité que nous avons presque l'impression de vivre sa vie[11] ».
France
Selon le site Allociné, sa note moyenne donne 3.6⁄5 pour 119 notes, dont 16 critiques des spectateurs[12].
Frédéric Strauss du magazine Télérama signale que « le propos est trop simple, les scènes de danse sont trop longues. Ça n'empêche pas ce film de Chris Mason Johnson d'émouvoir[13] ».
Isabelle Regnier du journal Le Monde semble être déçue du fait que le film « se concentre moins sur les ravages physiques de la maladie que sur les effets induits par la menace qu'elle représentait et la peur panique qu'elle suscitait alors[1] ».